Les Amis de Garabandal

E-mail : garabandal@bluewin.ch

www.lesamisdegarabandal.com

Accueil des Amis de Garabandal Suisse.

Historique et Messages.

Les Apparitions.

L'Avertissement... imminent ?.

Le Grand Miracle... imminent ?.

Le Châtiment.

L'Eglise et Garabandal.

Padre Pio et Garabandal.

Père Luis Andreu et Garabandal.

La consécration de la Russie.

Dévotions importantes.

Le Purgatoire.

Le Saint Scapulaire.

Histoire du Scapulaire.

L'Art de se confesser.

L'enfer existe, par l'Abbe Marcel Nault.

Voyage pour le Miracle.

Prophéties en attente.

Les trois Papes.

Fin des temps.

Joey Lomangino.

Le baiser de paix.

Le Feu sacré du tombeau du Christ.

Béatification de J-P II.

Les voyantes.

Itinéraire.

Liens.

FIN DES TEMPS

ET

DÉMISSION DE BENOÎT XVI

(Mise à jour le 11/11/2014)

 

Début 2013 a commencé par une surprise de taille : la démission du Pape Benoît XVI effective le 28 février 2013 à 20 heures. C’est avec une grande tristesse que nous avons appris cette nouvelle le lundi 11 février 2013, à deux jours du début du Carême ; elle a fait l’effet d’un coup de tonnerre dans le monde entier tant la stupéfaction était grande.

 

En parlant de tonnerre, ce même jour, plusieurs éclairs, dont un particulièrement énorme, sont tombés sur la coupole du Vatican !

 

 

 

Et lors d’une messe célébrée sur la place Saint-Pierre, le dimanche qui a précédé cette annonce, soit 24 heures auparavant, une colombe du Pape Benoît XVI a été violemment attaquée par une mouette.

 

Serait-ce là un signe symbolique de l’attaque contre le Pape et l’Église ?

 

Quatre jours plus tard, au petit matin du vendredi 15 février 2013, un astéroïde de 200 mètres de large, appelé 2011 EO40, est entré dans l’atmosphère au-dessus de Tcheliabinsk à une vitesse de 19 km seconde soit 60 fois la vitesse de la lumière.

Étrangement, il s’est désagrégé à trois reprises, deux fois dans la haute stratosphère et une fois à 25 km de la terre,  avant qu’il n’ait pu s’écraser et occasionner dégâts catastrophiques !

Intervention divine ?

Au cours de son entrée dans l’atmosphère, une pluie de météorites accompagnée d'éclairs incandescents s'est abattue au-dessus de l'Oural faisant tout de même plus de 1000 blessés et d’importants dégâts matériels.

L’onde de choc dégagée par l’impact est la plus forte jamais enregistrée par le Système de Surveillance International (SSI).

 

Quelques heures plus tôt, un astéroïde d'une masse de 135 000 tonnes, baptisé 2012 DA 14, frôlait la terre à 27 600 kilomètres de distance, ce qui est plus proche que certains satellites de communication !

 

Selon les déclarations de l’astronome Meg Urry à CNN, la probabilité que nous soyons témoins de deux phénomènes galactiques de cette ampleur le même jour est de 1 sur 100 millions !

 

Coïncidences diront les septiques, mais Padre Pio disait : « Qui fait coïncider les coïncidences ! » Et Einstein, lui il disait : les coïncidences, ce sont des événements créés par Dieu pour rester anonyme ».

 

Le renoncement de Benoît XVI intervient également durant l’année de la Foi, qui a débuté le 11 octobre 2012 et qui s’achèvera le 24 novembre 2013. Ce départ étant intervenu le 28 février 2013, jour de la saint Romain, (un autre hasard ?) le collège des cardinaux s’était réuni entre le 11 et le 13 mars 2013.

 

Et puis il y a eu la comète ISON C/2012 S1 qui, selon les astronomes, devait être la comète du siècle et passer au plus près de la terre vers le 26 décembre 2013. Mais lors de son passage près du soleil, elle s’est partiellement désintégrée et, finalement en janvier, la Terre s’est retrouvée dans le reste de la queue de cette comète déversant de très nombreuses petites météorites dans notre atmosphère, apparemment sans faire de dégâts.

 

Pourquoi parler de ces phénomènes astronomiques ? Parce que les comètes ont souvent été considérées comme annonciatrices d’événements graves, surtout lorsqu’elles sont aussi nombreuses qu’en 2013/2014.

 

Homère disait : « Les comètes n’apportent que troubles et désastres aux humains ! »

 

Revenons à Benoît XVI ; sa démission a suscité les suppositions les plus rocambolesques, mais une chose est certaine, à 86 ans la fatigue se fait ressentir, surtout avec un agenda aussi chargé que celui d’un pape. Mais les vraies raisons de ce départ sont probablement dues aux intrigues vaticanes, aux pressions qu’il a subi qui ont le plus affecté Benoît XVI et l’ont poussé à se retirer. Mais force est de constater qu’il s'agit là d'une situation inédite dans toute l'histoire de l'Église qui mérite de s’y attarder un instant. Par le passé, il y a eu des cas où deux ou trois papes étaient en conflit les uns avec les autres, mais il n’y a jamais eu deux papes en communion, tout en considérant que l'un des deux est le Pape précédent : le « Pape émérite », ce qui met en scène un personnage complètement inédit.

 

Même si cela n’a pas toujours été le cas avant que François ne devienne Pape, la cohabitation entre Benoît XVI et François semble bien se passer, pour l’instant ; ce dernier a même diffusé le 11 février ce tweet : « Aujourd'hui je vous invite à prier pour le pape Benoît XVI, un homme de grand courage et d'humilité ».

 

Alors, sans vouloir argumenter sur la validité de la démission de Benoît XVI, essayons de comprendre ce qui s’est passé lors de la « renonciation » de Benoît XVI le 11 février 2013, et quelle est la vraie nature de sa « démission », car ce qui s’est passé ce jour-là n’est pas très clair aux communs des mortels.

 

Jusqu’à maintenant les rares papes qui ont démissionné sont retournés à leur statut antérieur comme cardinal ou religieux. Cinq mois après qu’il abdiqua, le célèbre Célestin V, élu en 1294, est retourné à l’état d'ermite. Et le Pape légitime, Gregory XII, qui, afin de réparer le grand schisme d'Occident, quitte l'office pontifical le 4 juillet 1415, a été réintégré dans le Sacré Collège avec le titre de Cardinal Angelo Correr, agissant comme légat du pape en Marche.

 

Mais le 26 février 2013, le père Lombardi, porte-parole du Vatican, communiquait que Benoît XVI resterait « Pape émérite » ou « Romain Pontife émérite » et conservera le titre : « Sa sainteté ». Il ne portera plus l'anneau du pêcheur et s'habillera d’une simple soutane blanche.

Par contre, Benoît XVI a refusé de changer ses armoiries papales ; il gardera les armoiries d'un pape, avec les clés de Pierre. Il a également refusé un retour à l'héraldique d'un cardinal.

 

Ce fait est très significatif, car toute vanité personnelle pour un homme qui a donné la preuve de son détachement total des charges mondaines, est exclue. Il ne reste donc plus qu’une raison histérico-ecclésial liée à sa démission. Mais laquelle ?

 

L'explication officielle réside dans son discours du 27 février 2013, celui dans lequel il a précisé les limites de sa décision : […]« Permettez-moi de revenir une fois encore au 19 avril 2005, jour de mon élection. La gravité réelle de la décision était aussi due au fait qu’à partir de ce moment j’étais tenu à mon devoir, toujours et pour toujours envers le Seigneur ».

Le pape a ensuite expliqué : « Toujours : Toute personne qui accepte le ministère pétrinien n'a plus aucune confidentialité. Il appartient toujours et pour toujours complètement à tout le monde, à l'Église entière, [...] il n'appartienne plus à lui-même. » Puis il ajouta : « Le « toujours » est aussi un « pour toujours », un retour à la sphère privée n'est donc plus possible. Ma décision de démissionner de l'exercice actif du ministère ne peut pas révoquer cela. »

 

Il est étonnant qu'une déclaration de ce genre soit passée inaperçue. En fait, Benoît XVI dit qu'il renonce à « l'exercice actif du ministère », mais le ministère pétrinien, comme tel, est « pour toujours » et n'est pas révoqué. Sa démission s'applique donc uniquement aux « exercices actifs » et non au ministère pétrinien.

 

Dès lors nous devons nous demander quel genre de « démission » a été celle de Benoît XVI. Il a dit, en effet : « Je ne porte plus le pouvoir de la charge du gouvernement de l’Église, mais au service de la prière, je reste, pour ainsi dire, dans l'enceinte de Saint Pierre. Saint Benoît, dont je porte le nom en tant que Pape, sera un grand exemple pour moi en cela. Il nous a montré la voie à une vie qui, qu'elle soit active ou passive, est entièrement consacrée à l’œuvre de Dieu ».

 

Lorsque Benoît XVI, s'adressant aux cardinaux, promis l'obéissance à son successeur, c’était simplement l'attitude de Benoît envers François, et la communion entre les deux était visible lorsque Benoît a écrit l'encyclique « fidei Lumen », paraphée par François. Il est frappant aussi de constater que lors de leur rencontre à Castel Gandolfo, ainsi qu'à la cérémonie qui s'est tenue dans les jardins du Vatican pour bénir la statue de Saint Michel, on voyait les deux hommes de Dieu qui s’embrassent comme des frères, mais aucun des deux n’a fait un geste pour baiser ou faire baiser l'anneau du pêcheur. On pourrait presque se demander qui est finalement le pape.

 

Se pourrait-il qu’il y ait un secret entre eux que le monde ignore ? Doit-on les considérer comme au même niveau ? Nous savons que ce n’est pas possible d’après la constitution divine de l'Église qui stipule qu’il ne peut y avoir qu'un seul pape. Mais alors ?

 

Il y a aussi des significations inattendues à certains gestes de François, comme lorsqu’il s’est présenté au balcon de Saint Pierre que comme « Évêque de Rome », sans la tenue pontificale de cérémonie et l'absence du pallium dans son blason pontifical.

(Le pallium est désormais le symbole du couronnement pontifical qui a remplacé la tiare papale).

 

La constante prière de Benoît pour François et l'Église est peut-être le grand signe prophétique de ce moment historique. Néanmoins, on ne peut pas prétendre que tout est normal ; on ne peut pas éviter de se poser la question sur les vraies raisons de la démission de Benoît et combien l’ont souhaitée, sur la pression excessive qu'il a subie et sur son statut actuel.

 

Si Benoît a choisi d'être précisément « Pape émérite », il doit y avoir un motif très sérieux pour décider de continuer ainsi. Et les conséquences sont évidentes. Ce sont d’importants signaux envoyés à ceux qui peuvent les comprendre et à toute l'Église.

Il continue de défendre le Trésor de l'Église, mais d'une manière différente et il semble répéter ce qu'il a dit au cours de sa messe inaugurale : « Priez pour moi, que je ne doive pas fuir par peur des loups ».

 

Oui, prions pour Benoît XVI et restons prudent et attentif à tout ce qui se passe au Vatican.

 

Ce dont nous venons de parler pourrait expliquer ce qui suit, car il semblerait aussi que canoniquement parlant, cette renonciation faite par Benoît XVI le 11 février 2013 où il déclarait solennellement : « declaro me ministerio Episcopi Romae Successoris Sancti Petri, mihi per manus Cardinalium die 19 aprilis MMV commissum renuntiare » « je déclare renoncer au ministère d’évêque de Rome, successeur de Saint Pierre, qui m’a été confié des mains des cardinaux le 19 avril 2005 », ne serait pas valide.

Voici pourquoi : La phrase en latin est inintelligible, car elle contient une erreur grammaticale. « commissum » , qui dépend de « ministère », est complément du verbe renoncer, et devrait être au datif pour concorder ; c’est à dire que Benoît XVI aurait dû dire « commisso ».

Dans le droit canon traditionnel tout rescrit, bref ou bulle du pape qui contient une faute de latin est nul.

 

Saint Grégoire VII (Registrum 1.33) déclara nul un privilège accordé à un monastère par son prédécesseur Alexandre II, « en raison de la corruption de la latinité », qui constitue « un signe tout à fait évident ».

La décrétale Ad audientiam du pape Lucius III, qui figure dans le corps du droit canon (Décrétales de Grégoire IX, l. I, titre III, de Rescriptis, c. XI) pose que « la fausse latinité invalide un rescrit du pape ». Le pape interdit de prêter foi à une lettre pontificale « puisqu’elle contient une faute de construction évidente ». La glose (dans le texte officiel corrigé publié sur ordre du pape Grégoire XIII en 1582) explique à ce propos qu’un rescrit du pape « ne doit contenir aucune faute », puisqu’il est « élaboré avec beaucoup de temps ». Une faute de latin constitue une telle présomption de nullité qu’aucune preuve du contraire ne peut être admise.

 

Benoît XVI est quelqu’un supérieurement intelligent et il serait surprenant qu’il ait commis une telle erreur grammaticale dans un texte qu’il a eu tout le temps d’écrire et relire, à moins de la faire intentionnellement pour attirer notre attention.

 

Lors de sa dernière audience générale, Benoît XVI nous a peut-être donné un autre signe lorsqu’il a dit qu’il quittait ses fonctions « pour le bien de l’Église ».

Suite à l’hostilité envers la Compagnie qui augmentait dans les milieux philosophiques, gouvernementaux et aussi dans une grande partie du clergé, les cardinaux réunis lors du conclave 1769 exigèrent que le nouveau « papabile », en l’occurrence Clément XIV, promette de supprimer la Compagnie, sous peine de ne pas être élu. Clément XIV fit de son mieux pour retarder l’émission d’une Bulle qui devait éliminer à tout jamais l'ordre de la Compagnie des Jésuites. Mais en 1773, sous la pression et les menaces de discordes des catholiques, il fut obligé de céder « pour le bien de l’Église ». (même déclaration que Benoît XVI !) Il avait dit lui-même : « Cette suppression signera mon arrêt de mort » et en effet quatre mois plus tard il fut empoisonné.

 

Avant lui, Clément XIII avait aussi essayé de supprimer la Compagnie, mais lui aussi mourut empoisonné la veille de la parution du décret. Finalement la Bulle fut cassée, les jésuites ayant opposé l'argument selon lequel il ne s'agissait pas d'une Bulle, mais au milieu du XVIII siècle les jésuites furent expulsés de plusieurs pays : Portugal 1750, France 1762, Espagne 1767.

 

Mais si tout semble avoir été dit au sujet de la renonciation de Benoît, c'est surtout parce que ce dernier a lui-même tenu à couper court aux spéculations sur la validité de l'acte.

« Il n'y a pas le moindre doute quant à la validité de ma renonciation au ministère pétrinien. La seule condition à la validité de ma renonciation est la pleine liberté au moment de ma décision. Les spéculations sur sa validité sont tout simplement absurdes, » a-t-il ainsi déclaré en février 2014.

Ce que mentionne ici Benoît XVI, c'est l'une des deux conditions stipulées par le Code de droit canonique (canon 332, § 2) pour que la renonciation du pape à sa charge soit valide : « S'il arrive que le Pontife Romain renonce à sa charge, il est requis pour la validité que la renonciation soit faite librement et qu'elle soit dûment manifestée, mais non pas qu'elle soit acceptée par qui que ce soit. »

 

Il faut toutefois rappeler un fait passé largement inaperçu, mais qui est loin d'être anodin : au moment où Benoît XVI annonce sa démission, le 11 février 2013, les paiements électroniques et les retraits d'argent aux guichets automatiques sont suspendus au Vatican depuis le 1er janvier. Cette nouvelle a fait l'objet d'un certain nombre d'articles journalistiques dans la première moitié du mois de janvier 2013.

Mais à l'époque, les journaux mettent surtout l'accent sur la gêne occasionnée pour les touristes, obligés de payer leurs visites en espèces. En fait, la situation est bien plus grave que cela : concernant les rentrées d'argent au Vatican, il n'est plus possible de payer électroniquement quoi que ce soit sans effectuer un virement international depuis l'Allemagne ; pour ce qui concerne les dépenses du Vatican, l'encaissement de chèques provenant de la banque vaticane n'est plus possible sur le territoire italien. Assez significativement, le dernier article mis en lien titre qu'il existe entre le Vatican et la banque d'Italie un véritable « bras de fer » !

http://www.lapresse.ca/voyage/destinations/europe/italie/...

http://www.dailymail.co.uk/news/article-2256954/Vatican-v...

http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/01/14/il-est-...

 

Il ne faudrait cependant pas croire que ce blocage des facilités de paiement par la Banque d'Italie demeure sans impact sur l'économie vaticane. Un blog de la Stampa révèle à la mi-janvier 2013 que le Vatican perd alors 30.000 € par jour ! Si à partir de ce chiffre, on calcule l'ensemble des pertes sur les quarante-trois jours de blocage, on obtient un total de 1.290.000 €... Selon une autre estimation, cette suspension des paiements électroniques coûte quotidiennement 40.000 $ à la cité vaticane, soit un total de 1.720.000 $. Le 1er février 2013, un article du site « Inside the Vatican », rapporte que le problème n'est toujours pas réglé... Et puis tout à coup, la situation se débloque : les paiements électroniques sont à nouveau autorisés. Là encore, les journaux n'ont pas manqué de relater la nouvelle :

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/12/97001-201302...

http://www.lesobservateurs.ch/2013/02/14/les-paiements-pa...

http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Au-Vatican-le-...

Mais l'événement est passé relativement inaperçu, pour une raison toute simple : l'autorisation de reprendre les transactions électroniques est survenue le 12 février 2013, soit le lendemain de l'annonce de la démission du pape ! Simple coïncidence ? Ou Benoît XVI n’avait-il pas sa place dans le nouvel ordre mondial ?

 

Ajoutons encore un fait, lui aussi indubitable : le réseau SWIFT (Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication) qui sert aux transactions électroniques, et dont le Vatican a été momentanément déconnecté, a une influence considérable sur la vie d'un état. À tel point que déconnecter un pays de ce système constitue une véritable arme de guerre économique, employée à l'occasion. Et c'est dans ce contexte précis, un contexte de tension inouïe, que Benoît XVI a renoncé au trône de saint Pierre. C'est un fait indiscutable. Dès lors, peut-on réellement affirmer que c'est en toute liberté que le pape, soumis à de telles pressions, a démissionné de sa charge ? Il y a bien sûr les protestations de Benoît XVI lui-même, selon lesquelles il aurait librement renoncé à sa mission ; mais pouvait-il vraiment déclarer autre chose ?

Compte tenu des graves circonstances dans lesquelles elle s'est produite, la démission de Benoît XVI est-elle valide ? Il faut absolument mesurer la gravité de cette question qui, si l'on y répond négativement, génère des conséquences en cascades.

Revenons à notre droit canonique : selon le § 1 du canon 332, « Le Pontife Romain obtient le pouvoir plénier et suprême dans l'Église par l'élection légitime acceptée par lui, conjointement à la consécration épiscopale. » Si la renonciation de Benoît XVI à sa charge est invalide, alors l'élection qui s'ensuit perd toute légitimité et ne peut donc être considérée comme valide. Et si cette élection est invalide, alors le cardinal Bergoglio n'est pas pape, et c'est l'ensemble de ses actes et de son enseignement en tant que prétendu successeur de Pierre qui doit faire l'objet d'une remise en question. Dautant plus que si on se base sur la prophétie  des papes de de Saint Malachie et de Garabandal où la Vierge avait dit qu’après Jean XXIII il n’y aurait plus que trois papes avant la fin des temps, on peut se poser des questions.

Encore une fois n’oublions pas de prier pour Benoît XVI ; pour que Dieu le protège, pour le remercier pour tout ce qu’il a accompli durant son pontificat, durant celui de son prédécesseur et qu’il pourra encore réaliser, dans la mesure où sa mission n’est certainement pas encore terminée.

 

Le 13 mars 2013, le jésuite Bergoglio, a donc été élu pour succéder au Pape Benoît XVI sous le nom de François. Les prêtres jésuites au moment de leur profession religieuse finale dans la Compagnie de Jésus promettent de ne rien faire pour obtenir une prélature ou dignité en dehors de la Compagnie, et de ne pas consentir que leur personne soit choisie pour une telle charge, pour autant que cela dépendra d’eux, à moins d’y être contraints par l’obéissance envers qui peut leur commander sous peine de péché (Constitutions S.J. Part X, N°6 [817]).

Il ne semble pas que Bergoglio ait été contraint d’accepter de devenir pape, et si vous voulez en savoir d’avantage sur ce pape, allez sur le lien : « Qui est Bergoglio ». 

 

La presse nous a fait l’éloge de François, de son humanisme, sa simplicité, son humilité et de sa volonté de se démarquer de ses prédécesseurs. Et en effet lors de sa première apparition, comme cela a déjà été mentionné plus haut, François nous a quelque peu surpris en apparaissant au balcon de la basilique, le visage fermé, les bras le long du corps, en soutane blanche, sans les ornements que tous les papes portent en pareille circonstance, ni les chaussures rouges qui symbolisent le sang des martyrs. Bref, rien à voir avec les autres papes qui se présentaient avec tous les ornements propres à leur nouvelle fonction, le visage souriant, les bras ouverts pour embrasser la foule.

 

Les fidèles, qui espèrent un pape humaniste et adapté à notre époque, pensent que ce sont là des détails sans importance. En fait, il faut savoir qu’à l’instant de son acceptation, le pape ne s’appartient plus : il est le Vicaire du Christ, c'est-à-dire la plus haute autorité sur la Terre. Le port de ses insignes pontificaux, le faste du protocole et des cérémonies qu’il préside protègent cette autorité, manifestent les dons qu’il a reçus de Dieu et donnent joie et fierté aux membres de l’Église. C’est au pontife nouvellement élu d’entrer dans la charge qu’il a reçue ; il n’a pas à l’adapter à ses goûts personnels. Elle le transcende. Dans le cas contraire, il prendrait alors le risque de la désacraliser.

 

Ne pas respecter les traditions de l’Église, ne plus porter les ornements liés à la fonction de pape : crosse sertie de rubis et de diamants, anneau en argent plutôt qu’en or, etc… n’est pas une marque d’humilité. Tous ces accessoires n’appartiennent pas au Pape personnellement, mais à l’Église.

Maintenant que tous les ornements ont disparu, on ne voit plus que François : l’homme en blanc, évêque de Rome, comme il aime à s’appeler si souvent que l’on finit par se demander s’il n’est pas entrain de sacrifier le rôle du Pape sur l’autel de l’œcuménisme.

Mais l’explication de toutes ces singularités se trouve peut-être dans le texte concernant les détails de la démission de Benoît XVI, ci-dessus.

 

Le pape n’est pas non plus le directeur d’une institution caritative ; son rôle n’est pas de s’occuper de la misère matérielle du monde, mais de par sa fonction, il doit défendre, expliquer et transmettre le dépôt de la foi qu’il a reçu du Christ.

« L’humanisme n’est pas le Christianisme ! »

 

Si nous essayons d’analyser ce pontificat, ce n’est pas pour critiquer le pape, mais pour essayer de comprendre, à la lumière des messages de Fátima, de La Sallette, et de Garabandal, ce qu’il en est, car beaucoup de garabandalistes se posent des questions. En effet, à la mort de Jean XXIII, la Vierge avait averti Conchita qu’il n’y aurait plus que trois papes, puis viendrait la fin des temps. Il y a eu Paul VI, Jean-Paul 1er dont le pontificat n’a duré que 33 jours, et Jean-Paul II.

C’est donc durant le pontificat de Benoît XVI que les événements liés à fin des temps ont commencé de façon imperceptible au commun des mortels. (voir les trois papes)

 

Une autre précision à propos des papes nous est bien sûr donnée par la prophétie de Saint Malachie, qui jusqu’ici s’est révélée exacte et qui donne comme avant-dernier et 111ème Pape, Benoît XVI : gloria olivae, (la gloire de l’olivier), le dernier étant Petrus Romanus, Pierre le Romain qui n’a pas de devise, comme c’est le cas pour les autres papes.

 

Il semblerait toutefois qu’il pourrait y avoir un pape supplémentaire, car de retour à Rome, en 1595, Saint Malachie aurait rajouté oralement une devise qui donnerait, entre De Gloria Olivae et Petrus Romanus, la devise de Caput nigrum, tête noire. Or le titre de « noir » renvoie au Pape noir, en l’occurrence le Maître Général des Jésuites. La prophétie peut donc est comprise comme l'élection d’un Pape jésuite, ce qui est le cas du pape François.
 

Alors là nous avons un réel problème, car il n’y a que deux possibilités : soit toutes ces prophéties sont fausses, y compris celles de Garabandal, et l’Avertissement et le Grand Miracle risquent encore de se faire attendre ; soit nous sommes entrés de plain-pied dans les événements de la fin des temps liés à ce pontificat. Cela rejoindrait donc les messages donnés à La Salettes, Fátima, Garabandal et probablement aussi au contenu du troisième et authentique secret qui n’a toujours pas été révélé. Il semblerait que ce troisième secret fasse mention de deux hommes qui porteraient la couronne de Pierre à la fin des temps.

 

● La Salettes reconnue par l’Église : « […] Rome perdra la foi et deviendra le siège de l'antéchrist ».

● Fátima aussi reconnu par l’Église : « […] L'ordre ne règne plus nulle part. Même aux postes les plus élevés, c'est Satan qui gouverne et décide de la marche des affaires. Il saura même s'introduire jusqu'aux plus hauts sommets de l'Église ».

● Garabandal : « […] Les cardinaux, évêques et prêtres, marchent nombreux sur le chemin de la perdition et avec eux entraînent les âmes. »

Il est vrai que François a été élu légalement, mais au Vatican les cardinaux francs-maçons sont nombreux. N’oublions pas non plus les méthodes radicales utilisées au Vatican pour aplanir certains problèmes, comme l’assassinat de Jean-Paul 1er seulement 33 jours après son élection.

Alors, peut-on être sûr que l’Esprit Saint est réellement présent lors de toutes ces élections, car par le passé, il y a déjà eu de nombreux exemples de dérapages de papes et nous n’en citerons qu’un, le plus célèbre.

 

Le 11 août 1492, après avoir acheté le vote de plusieurs cardinaux, Rodrigo Borgia est élu Pape à la majorité canonique des deux tiers des cardinaux réunis en conclave. Couronné le 26 août de la même année et prend le nom d'Alexandre VI.

 

On peut se demander si l’Esprit Saint était présent lors de cette élection.

 

C’était loin d’être un modèle de vertu ! En 1470, alors qu'il a déjà été ordonné prêtre, Rodrigo Borgia fait la connaissance de Vannozza Cattanei jeune patricienne romaine, qui lui donnera quatre enfants (Juan, César, Lucrèce, et Geoffroi).

En 1489, nouvelle liaison avec la jeune et jolie Giulia Farnèse qui n'a que 15 ans. Rodrigo Borgia a alors 58 ans. De leur union naîtra une fille, Laura.

Alexandre VI s’est aussi rendu célèbre par la fameuse orgie du 31 octobre 1501 pendant laquelle ses convives ont été invités à faire preuve de la plus grande virilité auprès d’une cinquantaine de danseuses dévêtues. La compétition a été arbitrée par les propres enfants d’Alexandre VI, ce qui déclencha l'un des plus grands scandales de la chrétienté.

 

En fait, ce qui est train de se passer actuellement dans l’Église est probablement en préparation depuis la mort de Pie XII. En effet, le 26 octobre 1958, lors du conclave pour désigner son successeur, la fumée blanche est sortie de la cheminée de la chapelle Sixtine pendant plus de cinq minutes, annonçant l’élection d’un Pape. Il s’agissait du cardinal Siri de Gênes qui avait voulu prendre le nom de Grégoire XVII. Soudain la fumée est devenue noire ! Ces faits avaient été largement commentés dans la presse internationale.

On a su par la suite que des pressions et des menaces avaient été exercées sur le nouveau Pape, très conservateur, pour qu’il renonce à la papauté. C’est donc Jean XXIII, que l’on dit franc-maçon, qui a été élu et qui a amorcé le concile Vatican II dont on connaît les merveilles ou du moins l’application qui en a été faite !

 

Dans le milieu catholique, nombreux sont ceux qui s’interrogent sur le chemin que François veut tracer. On comprend mal, par exemple, que François ait confié le dossier de la réforme de la curie à une commission de huit cardinaux dont un seul en connaît le fonctionnement, mais pour représenter tous les continents et toutes les sensibilités dans l'Église.

 

Pour l’instant, François est populaire et se démarque complètement de ses prédécesseurs par son côté humain et son attitude. À un étudiant de 19 ans habitant Padoue qui lui avait écrit une lettre, François lui téléphone et lui dit : « Allô, c’est le pape François, nous pouvons-nous tutoyer, comme Jésus et les apôtres ».

Ça c’est vraiment « cool », c’est notre Pote François ! Mais ce n’est peut-être pas exactement l’attitude que devrait avoir l’homme qui a la fonction la plus élevée sur terre.

 

Aux JMJ du Brésil, ou devrait-on dire le Woodstock catholique brésilien, on a aussi pu assister à des cérémonies pour le moins surprenantes. À voir tout le monde danser sur la plage de Copacabana, y compris les cardinaux, les archevêques et les évêques brésiliens ; on avait l’impression d’assister à une cérémonie de sectes évangélistes, très présente au Brésil !

 

Il y a aussi cet étrange crucifix qu’il exhibait, mais à la place de Jésus, on y aperçoit une sorte de… serpent ? Quant à la nouvelle férule papale, les explications de l’artiste qui l’a conçu sont tellement tortueuses que l’on a vraiment de la peine à s’y retrouver.

 

Et puis il y a eu cette déclaration surprenante lors de la conférence de presse dans l’avion qui ramenait François à Rome, à propos de l’homosexualité : « Si une personne est homosexuelle et qu’elle cherche le Seigneur avec bonne volonté, qui suis-je pour juger ! »

 

Il est évident que les personnes qui ont des tendances homosexuelles, qui luttent contre cette déviance et ne la pratique pas, ne sont pas condamnables.

Mais ce que les autres homosexuels comprendront dans cette déclaration du pape, c’est qu’il ne les juge pas et qu’ils peuvent continuer ces pratiques honteuses tout en espérant le Paradis à la fin de leurs jours.

 

Qui suis-je ? Vous êtes censé être le Pape et en tant que tel vous devriez rappeler à ces personnes l’épître de Saint-Paul aux Romains, 1,25-28 qui est très clair au sujet de l’homosexualité.

 

Suite à ce genre de déclarations ambiguës sur l’homosexualité, Élie, Patriarche du Patriarcat catholique byzantin a fait une déclaration d'anathème sur François Bergoglio !

 

Il y a aussi cette lettre de félicitations aux musulmans l’occasion de la fin du ramadan qui est une véritable insulte pour les 80 chrétiens et tous les autres dont on ne parle pas, qui venaient de se faire massacrer par les musulmans en Égypte et ailleurs.

 

Et lorsque François déclare, lors d’une interview au journal italien « La Republica », qu’un athée échappera aux feux de l’enfer tant qu’il écoute sa conscience et nous dit en ces termes : « Chacun a sa vision du bien et du mal et doit faire le choix de suivre le bien et combattre le mal tel qu’il les conçoit »  on est perplexe !

Autrement dit, ni Dieu ni l’Église ne sont indispensables pour savoir comment nous comporter... notre conscience suffit !

 

(L’Église a toujours enseigné que l’on ne sera sauvé que par le Christ.)

 

Répondant encore à une liste de questions d’Eugenio Scalfari, le fondateur du journal « La Republica », le pape François écrit : « Vous me demandez si le Dieu des Chrétiens pardonne à ceux qui ne croient pas et qui ne cherchent pas la foi. Je commencerai par dire, et c’est une chose fondamentale, que la miséricorde de Dieu n’a pas de limite si vous allez à lui avec un cœur sincère et contrit. 

 

(Comment quelqu’un peut-il aller à Dieu avec un cœur  contrit s’il n’a pas la Foi en Lui ?)

 

Le problème, pour ceux qui ne croient pas en Dieu est d’obéir à leur conscience, même pour ceux qui n’ont pas la foi, existe même quand les gens désobéissent à leur conscience. »

 

En fait, on a pas besoin de croire en Dieu pour aller au ciel. La « conscience » et non la divinité, est ce qui est le plus important !

 

Ce genre d’ambiguité est malheureusement courant chez le pape François, et dans son discourt de clôture du Synode, le 19 octobre 2014, après que ses réformes et celles des cardinaux progressistes n’ont pas pu être adoptées, il a dit cette chose surprenante : « Dieu n’a pas peur de la nouveauté !? » Comme ce Synode était particulièrement centré sur la position de l’Église envers les divorcés remariés et les homosexuels, on peut se faire du soucis, d’autant plus qu’il a dit que lors du synode d’octobre 2015, c’est lui seul qui prendrait les décisions.

Pour que ces réformes soient adoptées, ces chapitres devaient être acceptées aux deux tiers, ce qui heureusement n’a pas été le cas. Mais il faut tout de même savoir que 55% des cardinaux ont voté pour, ce qui est vraiment préoccupant.

 

À la suite de ce synode sur la famille, les prélats conservateurs sont limogés de la curie les uns après les autres. Une véritable chasse aux sorcières car au Vatican, la vengeance est un plat qui se mange... chaud. Moins d'un mois après la clôture du synode sur la famille, le pape François a limogé le cardinal Raymond Leo Burke, chef de file des conservateurs, de ses fonctions de préfet du Tribunal suprême de la Signature apostolique, la cour de cassation du Vatican. Âgé de 66 ans - la force de l'âge pour un cardinal -, nommé archevêque de Saint-Louis du Missouri par Jean-Paul II, Raymond Leo Burke est considéré comme un proche de Joseph Ratzinger et il est très populaire parmi les traditionalistes. Durant le synode, le cardinal américain s'était opposé à toute évolution de la morale sexuelle de l'Église. Mais au-delà de ses opinions, partagées par de nombreux autres prélats, il n'avait pas craint de s'en prendre directement au pape François. « Le pape a fait beaucoup de mal au synode en ne disant pas ouvertement quelle est sa position. Comme pasteur universel, il doit servir la vérité. Le pape n'est pas libre de changer la doctrine sur l'immoralité des actes homosexuels, l'indissolubilité du mariage ou toute autre doctrine de la foi ». Évoquant « une Église sans gouvernail », il n'avait pas écarté un risque de schisme « si le synode allait contre l'enseignement de l'Église » ; un combat dont il connaissait les dangers. Il avait d'ailleurs lui-même évoqué le risque de son limogeage. Raymond Leo Burke a été remplacé par l'évêque français Dominique Mamberti.

Et la purge n'est pas terminée ! Le 5 novembre dernier, les deux secrétaires de la Congrégation du culte divin, Anthony Ward et Juan-Miguel Ferrer Grenesche, ont été remerciés. Et le cardinal George Pell, pourtant nommé par le pape François préfet du secrétariat pour l'Économie et membre du Conseil de la Couronne - les neuf cardinaux chargés d'étudier la réforme de la curie -, est tombé en disgrâce pour des choix liturgiques préconciliaires et pour s'être prononcé contre la communion aux divorcés remariés.

 

Allons-nous vers la reconnaissance du mariage civil et des homosexuels ? L’Église se serait-elle trompé depuis le Concile de Trente ? Apparemment non puisque le sujet avait déjà été traité, entre autre dans 1 Corinthiens 6:9 et Romain 1 : 26. Mais, comme le pense le cardinal Raymond Leo Burke, il est probable que nous allons tout droit vers un shisme.

A la lueur de ces événements on comprend mieux ce que la Vierge avait dit à Conchita, qu’après la mort de Jean XXIII il n’y aurait plus que trois papes puis viendrait la Fin des Temps : Paul VI, J-P I, J-P II et Benoît XI qui en abdiquant à laisé la place... à François.

 

Le 29 novembre 2014, les déclarations fracassantes de François continuent :

« Dieu n’est pas un magicien » Quand on lit ce qui est dit sur la création dans la Genèse, on prend le risque d’imaginer que Dieu est un magicien, avec une baguette magique capable de tout faire. Mais ce n’est pas le cas. Il a créé les êtres humains et les a laissés se développer selon des lois internes qu’il a données à chacun pour qu’ils puissent pleinement s’accomplir […] Le Big Bang, que nous pensons être à l’origine du monde, n’annule pas l’intervention d’un créateur divin. L’évolution dans la nature n’est pas contradictoire avec la notion de création car l’évolution nécessite la création d’êtres qui évoluent, a déclaré le Pape.

 

C’est vrai, Dieu n’avait pas besoin de baguette magique pour créer l’Univers et l’Homme, ni d’ailleurs son Fils Jésus lorsqu’il guérissait des aveugle, des lépreux et qu’il ressuscitait  des morts. La puissance de Sa Volonté suffisait ! Exit la Genèse ?

 

Le pape François ne partage donc pas l’avis de son prédécesseur Benoît XVI opposé à la théorie évolutionniste de Darwin. Selon Benoit XVI et ses conseillers, la sélection naturelle ne peut à elle seule expliquer la complexité du monde. En 2005, le cardinal Schoenborn a écrit dans un article : «L’évolution dans le sens d’ancêtre commun peut être vraie mais l’évolution au sens de celle  de Darwin – un procédé non guidé et non planifié – n’est pas exacte. »

 

La devise de Benoît XVI est de la gloire de l’olivier, celle de François pourrait être François l’ambigu ! Soyons donc attentif à ce qui va se passer au Vatican car nous ne sommes pas au bout de nos surprises. Mais force est de reconnaitre que ce genre de déclarations vont le rendre très populaire, spècialement auprès des gens qui estiment que la religion doit s’adapter à leur comportement et non le contraire.

 

François a consacré le Vatican à Saint Joseph et inauguré une statue de Saint Michel, pratiquement nu, sans armure comme on le voit habituellement. Et le 13 octobre 2013 il a fait venir la statue de la Vierge de Fatima pour consacrer le monde au Cœur Immaculé de Marie, ce qui a déjà été fait à deux reprises : par Pie XII et J-P II. Finalement, on a eu droit à un acte de confiance et même pas à une consécration du monde, ce dernier n’étant même pas mentionné dans cette prière à La Vierge.

 

Mais puisque François veut tellement se démarquer de ses prédécesseurs, on avait espéré qu’il profiterait de la venue de cette statue pour faire ce qu’aucun pape n’a encore fait jusqu’ici, du moins pas comme la Vierge l’avait expressément demandé :

Consacrer la R U S S I E au Cœur Immaculé de Marie, en union avec tous les évêques du monde entier.

Il avait pourtant là une occasion formidable pour accéder enfin aux demandes de la Vierge et également faire taire toutes ces rumeurs qui le considère comme l’usurpateur ou le faux prophète ! D’ailleurs une pétition à ce sujet lui avait été envoyée.

 

La Très Sainte Vierge avait averti que la cette consécration se ferai mais qu’il serait bien tard, car ce qu’a fait J-P II le 25 mars 1984 ne correspondait pas à ce qu’Elle avait demandé, même si la fausse soeur Lucie a confirmé que cela avait été fait.

(voir la vidéo l’imposteur Soeur Lucie)

 

Il devrait aussi proclamer le dernier dogme de Marie co-Rédemptrice, Médiatrice et Avocate et divulguer l’authentique troisième secret de Fatima ; mais comme celui-ci concerne, très vraisemblablement tout ce qui se passe actuellement au Vatican, il ne le fera certainement pas, même s’il avait pourtant promis de le divulguer avant fin novembre 2013. De plus Jean-Paul II, qui avait déjà diffusé un faux troisième secret, le 13 mai 2000, passerait pour un menteur, ce qui ferait un peu désordre alors qu’il a été canonisé !

 

 

Ces faits que nous venons de résumer sont graves mais aussi pleins d’espoir, car cela veut dire que nous faisons partie de cette génération de la Fin des Temps qui est sur le point d’assister aux événements les plus extraordinaires depuis le commencement du monde et qui vont nous conduire vers la terre nouvelle, peut-être de notre vivant pour beaucoup, comme le dit St-Paul en 1 Corithin 15:51-58 : Voici, je vous dis un mystère : nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés, 52 en un instant, en un clin d'oeil, à la dernière trompette. La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés. 53 Car il faut que ce corps corruptible revête l'incorruptibilité, et que ce corps mortel revête l'immortalité. 54 Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l'incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu l'immortalité, alors s'accomplira la parole qui est écrite : La mort a été engloutie dans la victoire.

 

Oui, il faut y croire, ce n’est pas de la science-fiction, c’est parole d’Évangile et c’est pour bientôt, pas dans 10'000 ans ! Pensons à ce qui, dans un premier temps, nous attend ; ce n’est pas encore le Paradis, mais presque. Encore faut-il être candidat et prier Dieu pour faire partie des élus qui auront traversé cette tourmente, ou mieux encore, qui auront été enlevés avant et qui prendront part à la Terre Nouvelle et aux Cieux Nouveaux.

 

C’est donc sur une note heureuse que nous terminons en faisant une exception en publiant ce message qui décrit la Terre Nouvelle selon un message que Jésus aurait dicté à M.D.M. le 26 juin 2012, car vrai ou faux il est très beau et plein d’espoir et rejoint de nombreux autres messages similaires :

 

[…] Oh ! Mes disciples bien-aimés, si vous pouviez voir le Nouveau Paradis lorsque le Ciel et la Terre fusionneront, vous tomberiez à genoux et pleureriez de joie et de soulagement.

 

À ceux d'entre vous qui êtes effrayés par la fin des temps, lorsque la terre comme vous le savez changera, alors vous devez Me laisser adoucir vos soucis.

Vous prendrez votre famille avec vous et tous, vous vous réjouirez dans une harmonie et un amour pur et absolu. Vous serez fait d’un corps pur, incorruptible qui ne connaîtra pas la maladie, la mort physique, ni le vieillissement.

 

Vous aurez tous votre propre habitation avec de l'herbe, des arbres, des montagnes, des rivières, des ruisseaux et des fleurs tout autour de vous dans toute leur beauté glorieuse.

Les animaux seront apprivoisés et vivront en paix et en harmonie avec tous les enfants de Dieu.

Vous verrez vos enfants se marier, avoir des enfants, et le miracle des familles, ressuscitées d'entre les morts, sera vu par tous.

Cette résurrection sera comme aucune autre joie imaginable.

Vous serez réunis avec vos proches, morts dans cette vie et qui sont allés au Ciel.

Vous aurez des nations, douze en tout, représentées par les douze étoiles de la Couronne posées sur  la Tête Immaculée de Ma Mère, et toutes seront gouvernées par Moi-même avec Mes Apôtres et Mes Prophètes.

 

C'est Mon Royaume promis par Mon Père depuis qu'Il a créé le Paradis sur Terre. Quiconque le rejette périra.

 

Priez pour que tous les enfants de Dieu aient la pureté d’âme qui leur permettra de rentrer à la maison dans le Royaume de Mon Père sur Terre, comme il était au commencement, est maintenant et sera toujours un monde sans fin, pour les siècles des siècles.

 

Votre Jésus

Retour